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En 2023, le nombre de fusions-acquisitions s'est replié de 28% par rapport à l'an passé, atteignant son niveau le plus bas depuis 10 ans. Mais face à un contexte d'accès plus restreint aux fonds en venture capital, cette voie reste une bonne solution pour garantir une nouvelle étape de la croissance d'une startup.

L’Autorité de la concurrence a rendu un avis au Gouvernement le 17 octobre 2023 sur le marché des titres-restaurant. Benjamin Suchar, directeur général et cofondateur de l’émetteur de titres-restaurant Worklife (en cours de rapprochement avec Crédit Agricole S.A.), réagit à cet avis.

La possibilité d’un plafonnement des commissions perçues par les émetteurs cristallise les tensions entre les leaders du secteur et les nouveaux entrants.

Regrouper tous les avantages salariés sur une seule carte ou appli, voilà ce que propose la solution Worklife pour faciliter leur accès aux collaborateurs et permettre aux employeurs de valoriser leur politique sociale

La fintech qui permet aux salariés de payer leurs titres-restaurants ou leurs services de mobilité s'adosse à la banque. Celle-ci propose déjà des offres en matière d'épargne salariale et de retraite ou d'assurance santé collective.

Face à la crise, toutes les entreprises ne disposent pas des mêmes moyens pour aider leurs salariés. Plus intéressants d'un point de vue fiscal que les augmentations, les avantages sociaux séduisent les patrons.

L’arsenal permettant aux chefs d’entreprise de défendre le pouvoir d’achat de leurs salariés « est l’un des plus incitatifs d’Europe », soutient l’entrepreneur Benjamin Suchar, dans une tribune au « Monde ». Il invite les patrons à s’en saisir, sans attendre l’adoption d’une nouvelle loi en la matière.

À l’heure où le pouvoir d’achat devient une priorité du fait de l’envolée de l’inflation, nombre de start-up proposent de rendre plus accessibles des avantages existants ou méconnus que les entreprises peuvent accorder à leurs salariés.

Chez nous, le Care est une valeur clé que nous nous appliquons à transmettre via notre management notamment », souligne Benjamin Suchar, fondateur et CEO de Worklife.

La start-up Worklife conseille les employeurs sur ces différents leviers. Son activité a triplé en un an. Autre alternative, le gouvernement entend favoriser la mise en place de l'intéressement dans les PME.

À partir du 1er juillet, il ne sera plus possible d'utiliser les titres-restaurants le week-end et les jours fériés. « C'est une mesure sage car il ne faut pas dévoyer l'objet du titre-restaurant, qui est de financer la pause déjeuner », ajoute Benjamin Suchar, patron de l'émetteur Worklife.

Worklife, société spécialisée dans les avantages sociaux, propose un nouvel “Avantage auto” pour simplifier la prise en charge de l’indemnité kilométrique dans le cadre des trajets domicile-travail et permettre aux équipes RH de construire une politique de mobilité plus inclusive adaptée aux collaborateurs éloignés des transports en commun.

Face à la flambée des prix du carburant, Worklife, société spécialisée dans les avantages sociaux, lance un nouvel « Avantage auto » pour simplifier la prise en charge de l’indemnité kilométrique. L e dispositif Avantage Auto permet aux équipes RH de construire une politique de mobilité plus inclusive grâce à une solution adaptée aux collaborateurs éloignés des transports en commun

Worklife, la start-up spécialisée dans les avantages sociaux lance Avantage Auto, afin de faciliter la prise en charge de l'indemnité kilométrique pour les trajets domicile-travail. Les salariés pourront ainsi bénéficier de cette offre par le biais d'une carte de paiement. Depuis le mois d'avril 2022, le barème de l'indemnité kilométrique a été relevé de 10 % pour pallier la flambée des prix du carburant. Une mesure annoncée par l’ex-Premier ministre Jean Castex, le 25 janvier 2022, afin de sauvegarder le pouvoir d’achat d’une certaine partie des actifs français.

Pour aider ses salariés à faire face à l'inflation, Worklife, une entreprise de ressources humaines, mise sur les avantages sociaux. Depuis janvier, Clément Falchier profite même d'un coup de pouce supplémentaire : 50 euros de plus par mois pour la crèche de sa fille.

L'inflation n'a cessé d'augmenter ces derniers mois et cela ne risque pas de ralentir avec la guerre en Ukraine. Une hausse qui entraine nécessairement une baisse du pouvoir d'achat des ménages français. Cependant, les entreprises peuvent agir sur cette question du pouvoir d'achat de leurs collaborateurs, sans nécessairement passer par une augmentation salariale, solution la plus coûteuse pour celles-ci.

Augmenter les salaires et verser des primes. Pour accroître le pouvoir d’achat, ces deux outils traditionnels font mouche dans l’esprit des salariés. Immédiatement tangibles, ces sommes apparaissent rapidement sur le compte en banque de leurs bénéficiaires.

La jeune pousse Worklife a développé une solution qui regroupe l’ensemble des avantages sociaux sur une même carte. L’entreprise les alimente et les salariés les utilisent de façon centralisée. Un système de gestion associé à la carte, mesure les différents impacts de ces avantages pour l’organisation et ses employés

French startup Worklife is planning to disrupt the employee benefits market and win over leading companies with its new multi-benefit payment card. Founded last year, the company is a cross between Fintech and HR tech and is working to provide “concrete and tangible” benefits in a post-Covid landscape to reconnect companies and employees.

As a newcomer to the employee benefits market, worth 1 trillion euros in Europe, Worklife intends to shake things up by placing benefits at the core of HR strategies as a real performance lever. This is a market which has previously seen relatively little innovation, with employee benefits being increasingly perceived as commodities and losing their impact on company performance.

La start-up Worklife et l’école d’informatique Ada Tech School organisaient le 19 mars la troisième édition de «Graine d’entrepreneuse». Ce hackathon réservé aux filles de 7 à 12 ans vise à leur donner le goût de l’entrepreneuriat, alors que les femmes à la tête de start-up sont encore minoritaires.

"Avec le développement du télétravail, les mobilités évoluent, les usages se multiplient. De nombreux salariés veulent devenir acteurs de leur mobilité et souhaitent pouvoir combiner un pass mensuel ou des tickets de transports en commun avec un déplacement à vélo, un co-voiturage", explique le PDG Benjamin Suchar, qui met en avant la souplesse de sa solution.

Serial entrepreneur de 35 ans, Benjamin Suchar est le fondateur et CEO de la startup Worklife, qui propose une carte pour financer des chèques-restaurant, la mobilité ou encore les services à la personne. En tant que startup à impact, Worklife ne prend aucune commission aux restaurateurs. À travers Worklife, il réinvente les avantages salariés pour aligner les objectifs de l’entreprise avec les nouveaux besoins des employés.

Le doublement du plafond des tickets restaurant, de 19 à 38 euros, va être prolongé jusqu'à la fin du mois de juin. C'est ce qu'a annoncé Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie et des Finances, ce mercredi sur RMC/BFMTV.

Les restaurateurs pour la prolongation… mais contre des commissions «folles». Les retours de la profession sont mitigés, indique une étude de l’institut Viavoice pour l’entreprise Worklife : 53 % des restaurateurs disent qu’il s’agit d’une bonne mesure, 22 % d’une mesure insuffisante et 25 % d’une mauvaise mesure. Selon la même étude, 60 % des restaurateurs souhaitaient une prolongation de cette mesure mais 40 % sont contre une éventuelle pérennisation.

Benjamin Suchar, fondateur de Worklife, explique comment accélérer le déploiement du forfait mobilités durables en entreprise.

Alors que 78% des restaurateurs affirment que les paiements au moyen de titres-restaurant ne sont pas rentables, Worklife, premier émetteur éthique et solidaire, propose un nouveau modèle sans commission pour les restaurateurs.

Un sondage réalisé par Viavoice pour Worklife, publié jeudi, montre en effet qu'ils sont 60% à souhaiter une prolongation de cette mesure. «L'accueil reste mitigé puisque 4 restaurateurs sur 10 tout de même ne souhaitent pas la pérennisation de ce dispositif», note Worklife. « Nous sommes pour le maintien du plafond à 38 euros, mais pas seulement. Nous appelons aussi à réguler les commissions pour que le soutien aux restaurateurs soit réel. » Benjamin Suchar, fondateur de Worklife.

Selon une enquête Viavoice pour Worklife, six restaurateurs sur dix souhaitent que le plafond des titres restaurant à 38 euros soit prolongé. La quasi-totalité des sondés déplorent en revanche le niveau trop élevé des commissions appliquées par les émetteurs.

Après avoir fondé Yoopies, première plateforme sociale de services à la personne en Europe, en 2011, Benjamin Suchar lance Worklife : la solution globale de gestion, animation et financement des avantages salariés qui permet aux RH d'avoir 100% de visibilité sur la performance de leurs actions et de valoriser leur impact business. Retour sur la genèse et les projets de cette pépite de la FrenchTech.

Depuis deux ans qu’il en était question, le voici enfin sur les rails. Depuis le 1er janvier, les entreprises ont la possibilité de délivrer à leurs salariés des « titres-mobilité » pour financer une partie de leurs frais de déplacement. Fonctionnant comme un titre-restaurant, ce dispositif prend la forme d’une carte prépayée et généralement dématérialisée.

Dans ce contexte, Worklife a mis en place une application et une carte de paiement pour permettre aux entreprises de gérer et financer l'ensemble des avantages sociaux. Face aux bouleversements de l'organisation du travail, les équipes Worklife ont décelé du côté des entreprises la difficulté d'accorder une indemnité télétravail sur la fiche de paie.

Le 16 novembre dernier, la députée LREM Frédérique Lardet proposait une loi visant à créer un “titre-télétravail” de 600 euros par an. Worklife, une jeune start-up propose déjà des solutions pour sa mise en place. La startup, créée en octobre 2020, a choisi de baser ses services sur l’accompagnement des entreprises vers les nouvelles formes de travail. Entre autres, l’entreprise accompagne ses clients vers le télétravail.

Les employeurs ont la possibilité de prendre en charge, dans le cadre du forfait mobilités durables, les frais engagés par leurs salariés qui effectuent leurs trajets domicile-travail en utilisant des moyens de transport alternatifs comme le vélo, le covoiturage, les transports publics de personnes (hors frais d’abonnement), les engins de déplacement personnel motorisés (comme les trottinettes électriques) ou les services de mobilité partagée (service de location de vélos, par exemple).

Worklife est une solution de titres-restaurants 100 % dématérialisée qui ne prend pas de commission auprès des restaurateurs. « On espère avoir lancé un mouvement et avoir réellement pu marquer une différence avec les autres émetteurs. Un autre modèle économique basé sur la création de valeur pour les entreprises est possible. », témoigne Benjamin Suchar, fondateur et CEO de la solution.

Worklife se présente comme un émetteur de titres-restaurants qui ne prend aucune commission auprès des restaurateurs. Quelle est votre recette ? Les titres-restaurants sont aujourd’hui devenus des commodités pour les entreprises. Outre l’avantage fiscal, ils ne procurent souvent aucune valeur aux ressources humaines. Or, leur usage quotidien fait d’eux un formidable levier pour propulser la marque employeur et valoriser l'ensemble des avantages proposés par l’entreprise...

«On vient jouer les trublions sur le marché des titres-restaurants.» C'est ainsi que Benjamin Suchar, PDG et fondateur de Worklife, voit sa nouvelle initiative. Son entreprise vient de lancer une carte «intelligente», qui permet de payer différents services subventionnés par l'employeur. Parmi les avantages les plus couramment offerts on trouve les titres-restaurants.

"72% des salariés de grandes agglomérations sont prêts à se tourner vers des solutions de mobilité durable". Entreprises, êtes-vous prêtes ?

L'UMIH, le premier syndicat patronal du secteur CHRD (Cafés - Hôtels - Restaurants - Discothèques) a salué l'arrivée de l'entreprise Worklife qui risque de révolutionner le marché des titres-restaurants puisque c'est la première à ne pas prendre de commissions auprès des restaurateurs.

Worklife est le seul émetteur à ce jour qui ne prend aucune commission auprès des restaurateurs. Worklife entend en effet à la fois proposer une solution sociale et solidaire auprès des restaurateurs et apporter de la valeur auprès des entreprises qui soutiennent cette démarche.

La startup française, experte des avantages sociaux, met la main sur l’activité complémentaire de son homologue allemande, qui est à l’origine d’une plateforme de soutien à la parentalité en entreprise. Avec cette opération, Worklife veut continuer à « enrichir son portefeuille clients avec de nouvelles entreprises européennes prestigieuses » , à l’instar de Contentful, Hellofresh ou Taxfix.

Worklife décide de prendre le contre pied de la dernière campagne Swile avec « la carte du moment », leur carte intelligente qui reconnaît automatiquement le type de dépense et la dirige vers le portefeuille correspondant.

Le groupe, qui détient aussi la marque Yoopies, veut inciter les entreprises à aider financièrement leurs salariés pour la garde d’enfants. Les demandes bondissent depuis le 31 mars.

L'application Worklife est couplée avec une carte bancaire et permet de regrouper tous les avantages que les salariés perçoivent de leur entreprise : garde d'enfants, donc, mais aussi titres-restaurants ou encore forfait mobilité.

La start-up francilienne de 75 salariés propose aux entreprises de financer la garde d’enfants comme pour les titres restaurants.

"Je pense que les parents ont réalisé que garder ses enfants et télétravailler en même temps, c'est mission impossible, souligne Benjamin Suchar. Il aura fallu le vivre pour s'en rendre compte."

Les entreprises se rendent compte que financer de la garde d'enfants pour leurs collaborateurs participe à la performance.

Le groupe Worklife, propose un service pour les entreprises, permettant via une carte de paiement de financer différents services pour chaque salarié, comme le recrutement d'une nounou.

Worklife regroupe les services aux salariés sur une application : recherche de solutions de garde d'enfants, de soutien scolaire, de coachs sportifs ou encore de professionnels de la santé, ainsi qu'une carte de paiement prenant en charge les titres restaurants, les Cesu et titres de transport.

Yoopies, créée en 2012, met l’accent sur le bien-être au travail, à travers une application (parentalité, sport, etc.) et une carte de paiement qui permet aux salariés de regrouper les titres restaurants, de mobilité durable et chèques emploi service universel (Cesu).

Le potentiel du marché des avantages salariés accordés aux entreprises a convaincu Yoopies qui se rebaptise Worklife et se repositionne...

Worklife est une App et une carte qui permet d’animer, valoriser et financer tous les avantages de l’entreprise.

En raison de l’explosion du marché, le dirigeant a avancé le déploiement de sa plate-forme Worklife, qui regroupe tous les avantages pour les salariés.